Mark s’intéresse au droit du sport, qu’il a découvert lors d’un stage auprès de Hammonds Manchester en 2001, puis qu’il a eu l’occasion de pratiquer au sein du pôle Sport de Hammonds à Londres. Cette équipe intervient pour le compte des plus grandes fédérations sportives ainsi que pour des clubs prestigieux sur des dossiers de parrainage, de transferts de joueurs, de gestion de droits audiovisuels ou encore de lutte anti-dopage. Mark est intervenu lors de deux tribunaux anti-dopage pour le compte de la fédération internationale de tennis, notamment dans l’affaire Mariano Puerta (qui a fait jurisprudence), et a facilité le transfert d’un joueur de football pour plus de 25 million d’euros. Depuis, il a suivi à Paris I une formation spécialisée en droit du sport et continue d’intervenir ponctuellement sur des dossiers dans ce secteur. Il écrit régulièrement des articles en la matière, tant en anglais qu’en français, particulièrement sur les paris sportifs, domaine actuellement en pleine ébullition.
Son attrait pour le sport ne se limite pas au droit, puisque Mark pratique le tennis, le volley et le football. Il joue dans l’équipe du barreau de Nanterre. Auparavant, il a joué sous la couleur aubergine de Hammonds en Angleterre. Son exploit aura été, lors de son premier match, de marquer une reprise de volée contre Clifford-Chance. Il se garde de préciser que ce but a été son premier et dernier de la saison !
En revanche, Mark ne pratique pas son sport favori : le football américain. Il tient cette passion d’une année passée à Washington alors qu’il était enfant. Passion qu’il a cultivée, malgré la difficulté de suivre les matchs qui sont rarement retransmis de ce côté-ci de l’Atlantique.
Mark est un grand voyageur. Il a vécu entre la France, l’Angleterre et les Etats-Unis, au gré des migrations professionnelles de ses parents. Plus tard, il a passé un an à Madrid pour parfaire son espagnol et a voyagé sac au dos à travers l’Asie. Il aime se souvenir des steppes mongoles et de l’Inde, où il compte bien retourner. En attendant, il n’hésite pas à traverser la Manche pour manger un curry digne de ce nom, car « à Paris il est vraiment trop fade ! ».