Le 5 novembre a été inauguré le musée Jean-Jacques Henner, situé 43 avenue de Villiers, donc à une encablure de nos bureaux, musée qui avait été fermé pour rénovation pendant plusieurs années.

Jean-Jacques Henner est ce peintre alsacien, grand prix de Rome en 1858 avec « Adam et Eve retrouvant le corps d’Abel », qui a eu son heure de gloire durant le Second empire et la IIIème République, dont un tableau était régulièrement retenu pour le « Salon », consécration de tous les peintres aux au temps de Napoléon III et l’Impératrice Eugénie.

Le musée ne comporte presque que des œuvres de ce peintre, dans un hôtel du XVIIème arrondissement qui avait été la demeure et l’atelier d’un contemporain de Henner, Guillaume Dubufe.

En 1871, Henner choisit de ne pas rentrer en Alsace et s’installe à Paris. Vous avez, un jour ou l’autre, vu cette peinture fameuse d’une Alsacienne en deuil intitulée « L’Alsace. Elle attend » 1871, offert à Gambetta.

Vous pourrez donc, après une réunion au 4 avenue Vélasquez, ajouter cette visite à celle de nos autres voisins :

• Le musée Cernuschi (7, Avenue Velasquez), ne manquez pas l’exposition « Les Buddhas du Shandong », jusqu’au 3 janvier.

• Le musée Camondo (63, rue Monceau), avec jusqu’au 28 mars « Le Constantinople des Camondo, les années 1840 ». Aquarelles d’Adalbert de Beaumont

• Le musée Jacquemart-André, (158 boulevard Haussmann). L’exposition en cours « Bruegel, Memling, Van Eyck… La collection Brukenthal » (jusqu’au 11 janvier), sera suivie de « Du Greco à Dalí. Les grands maîtres espagnols. La collection Pérez Simón».

Nous prenons très à cœur la vie culturelle de nos clients et toutes les occasions sont bonnes pour vous inciter à venir dans notre quartier.

La ville de Paris a lancé une campagne de sensibilisation civique innovante sur le vandalisme des Vélib en rappelant que les vélos n’ont aucun moyen de se défendre contre leurs agresseurs vandales. Ce message n’était probablement pas destiné aux aux abeilles du Parc Monceau, l’aire de verdure toute proche du cabinet. Et pourtant, vous savez probablement que la Ville de Paris a installé dans divers parcs de la capitale des ruches. Celles du Parc Monceau ont été attaquées nuitamment le mois dernier par des inconnus (genre tagueurs et profanateurs de cimetières) pour détruire ces ruches.